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 L'encre de Plume

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Ebène
Invité




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MessageSujet: L'encre de Plume   L'encre de Plume EmptyJeu 28 Sep - 21:30

Hop hop hop, comme en ce moment, j'écris (comme toujours), et pas trop trop mal... Et bien, je vais vous donner quelques textes...

Je préviens tout de suite, j'écris un peu tout et n'importe quoi. Donc je touche à tous les genres.
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Ebène
Invité




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MessageSujet: Non, et c'est une question d'honneur...   L'encre de Plume EmptyJeu 28 Sep - 21:33

Non, et c'est une question d'honneur...

[autobiographie]


Bon, ce texte est ce que l'on pourrait appeler "un coup de gueule". Non pas que j'avance vers vous pour vous donner un coup de visage (ce qui aurait l'air bizarre), mais c'est quelque chose qui me tient à coeur, et j'ai tenu à écrire un texte dessus...

Donc ceci est un texte contre l'alcool. Bien sûr, vous pouvez ne pas partager mon avis. Vous avez le droit, je ne fais que donner le mien.




Je ne veux pas…
Une bouteille de cidre se penche sur mon verre, et je souris, l’air un peu désolé -ou simplement amusé-, en fixant dans les yeux la personne qui me propose de l’alcool.
« Très peu pour moi, mais merci quand même. »
Merci ?
Ce remerciement était pour cette attention à l’apparence anodine, pas pour la boisson.
Pour ceux qui ont eu la chance de ne pas me rencontrer, ni de me proposer à boire, il faut savoir que je ne supporte ni les boissons gazeuses, ni les boissons alcoolisées. Pour les boissons gazeuses, c’est simplement une question de goût. Je ne supporte pas non plus les betteraves, et c’est au même titre. Si quelqu’un en boit –ou en mange, pour les betteraves ce sera plus simple-.
Cependant, l’alcool me donne un sentiment de profond dégoût. Rien de plus ni de moins. Il faut savoir qu’après tout, mon court passé est chargé d’une guerre contre ce goût.

Je ne sais plus quand cela a commencé. J’ai des images, parfois, de mon père criant sans raison, sur mon frère ou ma mère. Jamais sur moi. J’avais simplement peur, et je trouvais toujours le moyen de me cacher sous mes draps. Je suis une jeune fille petite, fine, et j’ai toujours possédé cette carrure discrète. Je n’ai jamais cherché à être plus visible, du moment que je ne sombre pas dans l’invisible, tout va bien.
Le monde était absurde, il n’a pas changé, et je pense être suffisamment blessée, suffisamment expérimentée dans ce silence pesant qui m’a rendue sourde, pour rester absurde jusqu’au bout. Ne jamais faire de bruit, toujours se cacher, passer loin, disparaître tout en étant présente, par un geste, un mot, un écrit. Si mon père était victime de l’alcool, je crois que le monde dans lequel je vivais en était imprégné, et que je voyais ces effluves devant moi, tout autour, pour me faire croire que le réel ne pouvait et ne devait pas exister.
J’ai appris à lire, et j’ai tenté d’oublier ma maison, les miens. Je voulais écrire, mais je ne me sentais pas prête. Alors que le couple parental s’effritait, entre alcools, cris et coups, je m’enfermais dans ma chambre avec un livre, tentant de déchiffrer les écritures.
Une fois la langue française apprivoisée, je voulais lire le plus possible de livres. C’était dans la recherche d’un recueil de mots que je vis mon pire ennemi. Il était tard, certes, et dans le salon, un amas de bouteilles gisaient autour de celui que j’appelais « Papa. » De la peur ? Non. De l’incompréhension ? Oui.
Je lisais toutes les étiquettes qui m’étaient visibles dans la pénombre. Un mot, un autre, des tas de choses que je ne connaissais pas. Vin, bière, whisky, et j’en passe.
Mon père avait l’air détruit. Lui qui faisait de la boxe, qui était chef bûcheron, il avait le regard d’un mort. Pourtant, il avançait vers moi, il me fixait avec un air dur.
« Qui es-tu ? »
Oublier sa fille. A cette époque, je pensais à une blague. Un pas, un autre, je m’approchais, en l’appelant par ce petit nom affectif qu’utilisent les enfants. Et me voilà dans la voiture, quelques minutes plus tard, avec a promesse qu’il me montre la nuit.
Il avait une drôle d’odeur. Quelque chose que je n’aimais pas. Qui me répugnait tout simplement. Je le laissais conduire, tout de même, docile pour éviter ses colères.
La conduite de mon père, en temps normal, a de quoi détruire une poignée de règles du code de la route en quelques mètres. A ceci près que mon père n’était que très rarement dans un état normal.
Une heure du matin.
Il devait être une heure du matin, quand la voiture fut encastrée dans une autre. Je m’en sortais bien, après tout : un œil au beurre noir, et seuls ma bouche et mon menton étaient en sang. Je pleurais, cependant, avec des larmes d’incompréhension. Je lui avais dit de ralentir, de faire attention, il ne m’avait pas entendu. Il riait.

Un an plus tard, environ.
Parents divorcés, mais je haïssais fondamentalement ma belle-mère. A vrai dire, si ma mère quittait peu à peu les habitudes liées à l’alcool qu’elle avait connues durant des années de mariages, ma belle-mère se plongeait dans la débauche.
Mon père était là, chez mes grands-parents maternels, pour m’emmener chez lui durant le week-end. De ma petite voix enfantine, qui contait déjà des histoires pour ses camarades de classe, je lui répondis :
« Je ne veux pas, tu as bu. »
Mon premier « non. » La première fois que je manquais de respect à mon père. Petite jouissance personnelle méritée.
Mon père se baissait jusqu’à moi, puis m’asséna une claque qui me fit tomber contre le carrelage. Deux points de suture sous le menton.
Et ce rire gras aux effluves maléfiques.

Quatre ans plus tard.
Une fête parmi tant d’autres tonnait chez mon père. Je descendais les escaliers de la maison si grande, si vide, pour arriver dans la salle où les gens riaient, jouaient, hurlaient sous les battements de cœurs musicaux.
L’odeur me dérangeait. Je développais depuis des années un dégoût olfactif pour l’alcool, ce qui me fit rapidement déterminer que la source n’était pas ce rival formé de bouteilles innombrables et diverses. Je m’approchais du géniteur, aux yeux morts de breuvages maudits et à la peau pâle.
« J’aime pas l’odeur. »
Il me sourit d’un air glauque.
« Drogue et alcool sont les meilleurs composants d’une fête, ma fille, tu comprendras rapidement. »
Drogue ?
Mon père était-il un enfant ? Un adolescent pré-pubère ?
Je posais mon regard sur sa nouvelle compagne. Si elle pouvait se déplacer nue, elle, elle le ferait, croyez-moi. Le type même de la fille sans esprit, qui rit pour un rien, qui se moque de tout le monde, un verre d’alcool fort à la main, et qui montre sa poitrine avec un décolleté qui ne pourrait pas être plus plongeant.
« Je hais ton objet sexuel, géniteur. »
Pas de réponse de sa part, comme s’il ne m’entendait plus, comme si mes mots avaient autant de poids qu’une plume. Pourquoi ne se rendait-il pas compte qu’une plume pouvait être belle ?
Les poings serrés, je baissais la tête, puis me faufilais entre les personnes présentes, qui s’exclamaient :
« C’est la fille de Louis-Marie ! »
Crevez, tous, je ne suis pas la fille d’un alcoolique, je suis autre chose !
Pourquoi ce rire angoissant me suivait-il ?

Il n’y aura pas de fin. Seulement un soupir. Je ne veux pas être sa fille, je ne veux pas sombrer dans les mêmes vices que lui.
Je n’ai pas beaucoup d’honneur, pas beaucoup de fierté. Juste celle de refuser l’alcool. De refuser que ce rire immonde prenne place en mon corps… Et puis il y a cette peur, celle que l’un de me proches, dans ma famille ou dans mes amis, finisse dans ce coin assombri… J’aimerais tant avoir le courage de dire « non, ne le bois pas… »
… Et j’aimerais tant que la personne à qui je le dis comprenne pourquoi ces mots…

Par pitié, faites taire ce rire infernal...
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Lina
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MessageSujet: Re: L'encre de Plume   L'encre de Plume EmptyJeu 28 Sep - 22:04

En lisant ce que tu as écris, j'ai ressenti le besoin de partager mon histoire avec toi car tout ceci m'a énormément chamboulé...J'en ai besoin, et j'ose le faire grâce à toi... Pardon d'écrire ça ici alors que c'est ton sujet...

17 février 1991 : une phrase simple, rapide, et directe. "Votre père est mort tout à l'heure." Ma mère nous avait emmené moi et mon grand frère dans la chambre des parents pour nous annoncer la nouvelle : j'avais 8 ans, mon frère en avait 14. Je me souviens quelques temps plus tard l'avoir entendu dire : "j'aurais fini par le tuer moi."

Mon père est décédé d'une cyrose du foie aigue. il avait 40 ans. C'est jeune. Trop jeune. Pour ceux qui l'ignorent, c'est une des maladies qui découle directement d'un alcoolisme assez puissant. Il a d'abord eut une jaunisse, et puis il est partit à l'hopital. Il n'est jamais revenu.

Je ne me souviens pas moi... Je me rappelle de son départ, en noir et blanc. Y'a pas de couleus dans mon souvenir... Et avant sa mort, je ne me souviens de rien, je ne me souviens plus de lui. Black-out de mon inconscient à ce qu'on m'a dit : c'est sans doute ça. Sa voix je l'ai oublié, son odeur aussi.

Mais moi j'avais pas à me plaindre. La seule fois qu'il m'a touché j'étais bébé. Il avait trop bu, un peu comme d'habitude et il m'avait fait voler contre la table basse. Ma mère me l'a dit, je m'en souviens pas. Ma lèvre s'était ouverte à priori : j'ai pas de cicatrice... Tant mieux. J'en veux pas de cette cicatrice. Mais après ça, à moi, il n'a plus jamais rien fait. Non. Mon frère il prenait tout, et ma mère aussi. Et mon père, parfois il était sobre.. Parfois, et là il était gentil. Enfin je crois. C'est ce sentiment que j'ai en tout cas : je le sens au fond de moi qu'il avait des moments de gentillesse.

Pour mon frère et ma mère, c'est horrible à dire mais pour eux, ça a été une délivrance. Ma mère a jamais eu le courage de le quitter. Une partie d'elle l'aimait toujours sans aucun doute. Il est partit... Je me souviens de rien mais par contre l'enterrement je m'en souviens comme si c'était hier. Je me souviens même de ce qu'on a mangé après. Je me souviens que ma mère n'a pas pleuré devant nous et qu'à l'Eglise, elle s'est retourné vers moi et mon frère et elle nous a sourit, et a fait un clin d'oeil pour nous faire voir que tout se passerait bien.

Et tout s'est bien passé. Elle a rencontré quelqu'un, qui ne boit pas, et s'est remariée. Mon beau-père, c'est mon deuxième père et bon sang : il est génial. J'ai énormément de chance de l'avoir.

J'ai cette photo de mon père protégée dans du plastique, sous mon oreiller. Je lui dis bonne nuit chaque soir. Comment je peux l'aimer malgré ce qu'il a fait? Je ne sais pas. Il regrette, ça je le sais. Il y en a qui ne me croiront pas...

J'ai fait du spiritisme à une époque, car disons que j'ai un don pour ce genre de choses... Un don qui m'a été transmit par ma mère. Ce que je vais écrire s'est réellement passé, et c'est la première fois que j'en parle sur un forum. Une séance... Ma troisième et dernière car je n'ai jamais recommencé. Sans le voir venir, il était là : mon père. Quand le verre m'a désigné pour dire qu'il y avait un esprit dans la pièce qui me connaissait j'ai pensé à lui. Oh, j'ai demandé vérification... Il a écrit le prénom de ma mère et de mon frère : personne ne pouvait le savoir à part moi... Personne ne poussait ce fichu verre.

Ca n'a pas duré longtemps... Je lui ai demandé si il était fier de moi : il a dit oui. Je lui ai dit que je l'aimais. Je lui ai demandé si il voulait me dire quelque chose qu'il n'avait pas pu me dire : il m'a dit qu'il m'aimait. Je lui ai demandé si il voulait que je dise quelque chose à ma maman et à mon frère : il a dit adieu... Et il est partit. Ce genre de choses, peu de personnes ont la chance de le vivre et j'en suis heureuse : ça m'a rapproché de lui. Il a été horrible, il s'est tué à petit feu et a fait beaucoup de mal, et tout ce temps... Il est resté entre la vie et la mort : il n'a pu aller nulle part car il n'avait pas trouvé la paix. Est-ce-qu'il a réussit à la trouver? J'en sais rien. Je crois pas qu'on puisse trouver la paix quand on a fait ce qu'il a fait.

Récemment, un souvenir m'est revenu.. Des vacances qu'on passait dans le sud est... Je me rappelle le parc, l'appartement de location, la couleur des murs, mais lui je ne le vois pas. Pas encore.. Mais j'espère le voir un jour. C'est le premier souvenir qui m'est revenu depuis qu'il est mort.

Vio... Grâce à toi, j'ai pour la première fois pu me lâcher et me confier de cette manière. Vio, ton père est ce qu'il est, et il est bien pire que ce qu'était le mien apparement, et il n'a aucune excuse. Il ne changera sans doute jamais et c'est dommage car il aura gaché sa vie et celle de ses proches. Je ne souhaite pas comparer nos histoires. J'ai eu de la chance d'avoir la possibilité de vivre autre chose avec un nouveau père. Je veux juste te dire que je te comprends à ma manière, et que je te soutiens. Etre la fille d'un alcoolique, c'est pas facile, mais on n'est pas que ça. On est nous, tout simplement. Si seulement on pouvait faire disparaitre cette maladie qu'est l'alcoolisme et éviter à d'autres enfants ce qu'on a pu vivre...
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Mera
Invité




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MessageSujet: Re: L'encre de Plume   L'encre de Plume EmptyVen 29 Sep - 17:07

C'est difficile de dire quelque chose après de tels témoignages.
Je préfère me taire plutôt que de dire des trucs stupides.
Merci de nous avoir fait partager ça et courage !
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Tristant
Invité




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MessageSujet: Re: L'encre de Plume   L'encre de Plume EmptyMer 4 Oct - 23:31

Merci pour les commentaires, même si on a déjà eu une longue discussion sur le sujet avec Virginie (juste après qu'elle ait commenté, en fait...)

Là, allez, hop, soyons fous, je vous donne quelques travaux sur des signatures. Les dessins ne sont pas de moi sur ce post. Il s'agit de montages.
Cependant, les citations et les personnages sont miens -sauf si je dis le contraire-.

L'encre de Plume Keelaetgelvinsignaturezt6
Keela et Gelvin, de Lock : Me suis servie du même artiste que pour Ebène, pour leurs avatars.
Pour la petite histoire, ils sont jumeaux, Semi-Elfes, et viennent d'un clan de bergers (appelé Lock) qui a été attaqué, dévoré, pillé, et brûlé par des Lycans. Tous deux se sont faits mordre, mais pas au même endroit, ni au même moment dans la nuit. Cette histoire, à l'heure où les aventures de leur forum se développent, a eu lieu il y a plusieurs millénaires. Lock n'est aujourd'hui pas grand chose de plus qu'une légende, qu'un conte pour enfants, et une chanson interminable...
Keela a été la première à se réveiller, et sur le forum sur lesquels ils sont, elle a vécu la première aventure. A la base, cette Lycane (car tous ceux qui ont été mordus par des Lycans deviennent Lycans à leur tour) est payée par les Vampires pour éliminer un membre de l'équipe des héros, un prince paumé. Traîtresse, mercenaire, elle s'ammourache plus ou moins du tavernier et chef de la troupe, qu'elle rend Lycan. S'ensuivent quelques péripéties, et finalement, le prince qu'elle devait tuer lui propose plus d'argent que les Vampires n'en donnaient pour le tuer. Résultat, pas conne, elle décide de rejoindre les gentils.
Avec l'argent, elle reconstruit le cla de Lock (je vous passe les problèmes), et retrouve son frère, devenu excellent manipulateur et meneur de troupes.

L'encre de Plume Oragesignaturevk5
Ciel d'Orage : C'est le petit garçon, sur la signature. Cinq ans, en apparence physique, il est né Ange. Et puis un jour, il a du tuer ses deux parents, avec l'aide de son frère, pour survivre. Il est devenu Ange-Déchu.
La folie, la peur Humaine, la bêtise aussi... bref, un concentré de tout cela, et le gamin se fait enfermer dans une bâtisse que des Humains ont fait brûler. Ses yeux se font lécher par les flammes, et le voilà aveugle, sans pouvoir se servir non plus de ses ailes..
Et puis il y a son frère qui devient fou, et lui-même, qui apprend à jouer avec la vie en devenant Lycanthrope.
Résultat, le voilà psychopathe plus qu'autre chose. Froid, il ne pense qu'à jouer avec les âmes. Cela le fait rire. Ce n'est qu'un enfant qui joue, en quelque sorte...
Qui joue avec son ours en peluche, et un vieux couteau rouillé, qu'il appelle "Maman"... pour cause, c'est avec cette arme qu'il a tué sa mère.

L'encre de Plume Signaturegreyzz6
Grey Mathgen : Ce n'est qu'un Humain. Il boite, il commence à se faire vieux, et a une peur bleue des femmes -ou plutôt du regard des autres, à vrai dire-.
Bref, en quelque sorte, c'est un type qui est complexé par son handicap. Il est devenu marionnettiste. C'est simple, avec un bout de bois, on raconte une histoire. Sauf qu'il n'est qu'amateur, encore aujourd'hui, et n'a pas un très grand niveau... Et pourtant... et pourtant cet homme qui rêve d'être père a un léger pouvoir : sa marionnette est possédée par deux esprits (jamais les deux en mêmes temps). Des esprits de deux chevaliers qui se sont battus à mort pour une jeune fille. Un Centaure lubrique, et un Elfe loyal... Combat à mort, qui s'est soldé par un échec des deux côtés. Aucun d'entre eux n'a survécu...
Mais ils deviennent tous deux protecteurs de la même personne. Grey, très grand, boiteux, et très facile à manipuler...
Dernièrement, la reine du Feu, Galathée, a choisit de décerner le titre d'artiste royal à Grey Mathgen... mais est-ce réellement un seul geste envers un pauvre homme, ou un signe évident de ce lien qui se noue entre eux, entre un père sans enfant, et une fille sans père ?

L'encre de Plume Signatureenict5
Enimia : Fille d'une Keela (mais pas celle du forum des Lock), cette petite fille aux apparences charmantes, amusantes, et innocentes, devient peu à peu la déesse même du Sommeil.
Et qui la dit Déesse du Sommeil, la dit un des généraux d'une guerre interminable. Quel enfant pourrait grandir dans un lieu chaotique ?
PS : pour elle, la signature vient d'une chanson...

J'en ai encore d'autres, mais j'arrête un peu pour l'instant Razz
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